Les yeux jaunes des crocodiles
Publié le 28 Mai 2013
J'ai enfin fini mon roman !!!
J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire ... bon faut dire qu'avec 2 asticots qui ont du mal à s'endormir le soir, ou bien perdent leurs tétines toutes les 5 minutes... Ajouter à cela une maman qui s'endort au bout de deux pages... Forcément je ne pouvais pas y entrer facilement !!!
Mais une fois que j'ai été plongé dans l'histoire de Joséphine Cortès, je n'ai pas pu en sortir !!! Ce livre est vraiment bien écrit et très plaisant à lire ! Les personnages sont très attachants, les aventures des uns et des autres sont bien menées.
J'ai aimé m'attacher à Joséphine particulièrement. Une super maman qui se retrouve à élever ses 2 filles pendant que son mari la trompe et la quitte finalement pour partir élever des crocodiles en Afrique... Une super maman qui se débrouille coûte que coûte pour apporter le maximum à ses filles, qui en oublie parfois de vivre pour elle même. On voit évoluer ce personnage tout au long de ce roman et à la fin on se dit "quelle sacrée bonne femme!"
Autour de Joséphine, tout un tas de personnes affluent, dont un qui va illuminer sa vie ! Rien que pour ça j'ai hâte de commencer le prochain tome "La valse lente des tortues" !
Résumé du livre par le site Evene :
Deux soeurs. La quarantaine. Iris, belle, très belle, riche, élégante, parisienne. Autrefois étudiante brillante, elle s'est mariée, et sa vie se résume en un tourbillon vain. Iris s'ennuie, rêve de devenir une autre. Joséphine est une littéraire, historienne spécialisée dans l'étude du XIIe siècle. Beaucoup moins belle, beaucoup moins à l'aise dans la vie. Mariée, elle a deux filles, vit en banlieue et se bat pour tenir debout. Un jour, à un dîner, Iris prétend qu'elle écrit. Entraînée par son mensonge, elle persuade sa soeur d'écrire un livre qu'elle signera, elle. Abandonnée par son mari, acculée par les dettes, Joséphine se soumet. Elle est habituée : depuis qu'elles sont enfants, Iris la magnifique la domine. Le destin de chaque soeur va basculer.
Et ça c'est le prochain !